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Ce
qu'en dit la presse |
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Près de deux cents personnes, habituées des concerts d'été, promeneurs, ou "connaisseurs" ont ainsi rythmé le tempo et applaudi une excellente formation à la remarquable technique et au registre varié passant des classiques (...) aux propres compositions de Charles Després: Foolin' around, Someday, apportant la preuve comme l'exprime le compositeur-musicien que "le blues n'est pas triste". L'Est Républicain, 15 Juillet 2002. |
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Une moyenne d'âge quelque peu plus élevée qu'à l'habitude, pour ce concert: le blues transcende les générations. (...) Charles Després a immergé ses auditeurs dans des riffs aussi sensibles qu'intelligemment dosés. La Liberté de l'Est, 27 novembre 2000. |
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Cet autodidacte écume depuis une dizaine d'années les scènes de la grande région. C'est avec une facilité et une virtuosité déconcertante qu'il enchaînera les classiques de John Lee Hooker, Willie Dixon et autres Stevie Ray Vaughan. L'Est Républicain, 3 juin 2000. |
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Guitare sèche, harmonica et juste une voix pour amener les quelque deux cents spectateurs dans le delta couleur bleu. "Bon son, ce jeune gars", commentait papy Ford en coulisse. (A l'occasion de la première partie de T-Model Ford et Paul "Wine" Jones au Terminal Export à Nancy). L'Est Républicain, 6 décembre 1999. |
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(...) le professionnalisme et l'entrain de Charles Després and the Midnight Creepers. De talentueux "ingrédients" pour un plat succulent. L'Est Républicain, 6 septembre 1999. |
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Dimanche, parc Richard-Pouille, devant une centaine d'amateurs, le blues band a livré un concert époustouflant, dans la plus pure tradition américaine. (...) Pas de frime, pas d'artifices, la simplicité et la chaleur humaine sont de rigueur. (...) Il n'est pas chanteur de charme. Il est pourtant doté d'une voix chaude et ses blues en séduisent plus d'un. Il n'est pas non plus un de ces rockers qui placent la notoriété au premier rang. Charles Després est juste un amoureux du blues, quelqu'un de chaleureux et de simple dans le sens noble du terme. L'Est Républicain, 20 juillet 1999. |
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(...) Charles Després voue (...) un amour immodéré au blues des origines (Lightning Hopkins, Robert Johnson...) (...) il alterne avec bonheur compositions et reprises hallucinées des maîtres du genre. La Liberté de L'Est, 26 mai 1998. |
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